i, the bastard, le premier album de Wassailer, est sorti le 27 janvier dernier. De son vrai nom Will Serfass, Wassailer livre une production à la fois fragile et soucieuse, qui alterne entre jazz chaud et délicat et néo-folk brut.
Composé de onze morceaux, ce premier album de Wassailer est une ode à l’être humain et à ses complexités. De la première piste Foreplay surprenante et brutale, à la dernière Song for Elsa, émouvante et poignante, l’artiste installé dans le sud-est de Londres, dévoile une incroyable palette artistique, capable de nous émouvoir autant que de nous faire danser et frissonner.
Ce i, the bastard est captivant de par sa richesse sonore, mélodique et émotionnelle. Sans oublier la voix de l’artiste, qui porte tout cet album avec élégance, parfaitement entourée, élevée, soutenue par des mélodies, des instrumentations parfois surprenantes (Settlement) mais toujours justes et maîtrisées. Dense et étonnant tout en étant cohérent et plein d’émotions… ce premier album de Wassailer est tout simplement passionnant.
Quelques jours avant la sortie de l’album, Wassailer a également dévoilé le clip du titre Song For Elsa, et à l’image de la vidéo qui accompagne le morceau Son, cinquième piste de l’album, l’artiste offre un nouveau clip fort et lourd de sens. Une merveille aussi bien sonore que visuelle.
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