Ryn Weaver, jeune artiste de 21 ans, nous arrive tout droit des Etats-Unis, qu’elle a fait chavirer cet été avec sa pop fraiche et enjouée.
Dévoilé mi-août, son premier EP Promises composé de quatre titres, mêle réalité et surréalité, innocence et excitation. On y découvre un univers qui mixerait de gros beats actuels avec Joni Mitchell ou Kate Bush. Prometteur.
Le premier titre OctaHate, mis en ligne en juillet a su créer le buzz et a accumulé en deux semaines plus d’un million d’écoutes et atteint la première place de la Hype Machine et du Billboard Heatseeker. Depuis, Ryn Weaver ne cesse de faire parler d’elle.
Avec son EP, la jeune femme s’exprime sur de nombreux sujets variés et étonne. En effet, elle aborde les cycles lunaires et les signes astrologiques, l’effet de la consommation de soja sur les seins des végétariennes, les différence d’érotisme dans l’art de Gustav Klimt et de son protégé Egon Schiele, mais aussi Kate Bush et son album The Dreaming, l’amour, le symbolisme des fruits à noyau dans une chanson de Joanna Newsom, le design et la mode, la mort, le pouvoir empathique des rats domestiques, la politique des genres, l’aine de David Bowie dans Labyrinth et l’allure menaçante de la mer dans Moby Dick… Promises est une première production réussie, qui s’écoute facilement et qui donne envie de s’attarder sur cette jeune artiste et d’en entendre davantage.
Le DJ, producteur et musicien norvégien Cashmere Cat a également signé un remix du titre OctaHate, qui a rapidement entrainé de nombreuses réactions sur la toile. Le remix possède déjà plus de 90 000 écoutes sur Soundcloud. A écouter ici.
www.facebook.com/RynWeaver