Matt Elliott, artiste britannique fascinant à l’origine d’une musique dark-folk tout aussi captivante, a récemment livré un nouvel album. Intitulée Farewell To All We Know, cette nouvelle production laisse difficilement indifférent.
Farewell To All We Know est une production composée de dix morceaux somptueux, à la fois délicats, torturés et émouvants. Porté par une instrumentation qui donne des frissons, un piano envoûtant, une basse et un violoncelle plein de sensibilités, cet album s’appuie sur des mélodies élégantes qui accompagnent idéalement la voix de Matt Elliott, une voix grave frissonnante, séduisante.
De la première piste What Once Was Hope, purement instrumentale, à la dernière The Worst is Over, le nouvel album de Matt Elliott nous emporte entre aubes pleines d’espoir et crépuscules meurtris, entre chaos et renaissance, entre obscurité et lumière. Farewell To All We Know possède ce quelque chose de magique, de brillant. L’artiste britannique livre un véritable chef d’œuvre musical, certes sombre et épuré mais terriblement beau. Une vraie pépite.
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