Bercé par une double culture, à la fois libanaise et française, Ibrahim Maalouf a fait de cette diversité une force artistique incontestable. Par la trompette à 1/4 de tons inventée par son père Nassim Maalouf, il s’est imposé comme un musicien exceptionnel. Trompettiste, pianiste, compositeur, producteur… Ibrahim explore la musique en long en large et en travers, expérimentant les sonorités, s’associant à d’autres artistes, et écumant les salles pour laisser libre cours à l’improvisation. Toujours au cœur de nombreux projets, il s’apprête maintenant à sortir non pas un, mais deux nouveaux albums !
Dans les bacs le 25 septembre, Red & Black Light et Kalthoum se construisent tous deux comme un hommage aux femmes, qui « malgré des vies en labyrinthes, complexes et souvent dramatiques, elles portent en elles une force et une stabilité similaires à une forme de transe inébranlable« , comme le déclare Ibrahim Maalouf dans un communiqué. Si les deux opus sont animés par le même thème, ils prennent toutefois des chemins très différents. Kalthoum s’intéresse au célèbre Alf Leila Wa Leila ( Les Mille et une Nuits ) d’Oum Kalthoum et nous livre un jazz en collaboration avec le pianiste Frank Woeste, tandis que Red & Black Light prend des allures beaucoup plus électroniques, voire pop. Un premier extrait de ce dernier est d’ores-et-déjà disponible et annonce deux nouvelles productions hautes en couleur. La musique y prend vie, se transformant en un véritable déchaînement d’émotions et de passion parmi lequel perce la trompette, voix à part entière, nous envoûtant ainsi par sa mélodie singulière.
Ces nouvelles sorties seront accompagnées par une tournée de concerts qui traversera la France à l’automne. Pour plus d’informations, les dates sont en ligne sur le site officiel.
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