Il y a eu de nombreuses écoutes de cet album, signé Blanc, pour bien s’imprégner des textes, des sons, des mélodies. Et à chaque fois, les sensations étaient les mêmes. Blanc, qui porte donc le même nom que le trio, est une production pleine de profondeur. Blanc, c’est de la poésie, de la vérité, des propos qui virevoltent au gré des sons et des mélodies puissantes. Fortes. Qui remuent.
Avec des textes de Pierre Soletti, de Boris Vian et des mélodies qui résonnent encore longuement après l’écoute, Blanc propose un univers qui sort des sentiers battus. Ce qui marque, ce n’est pas ni les textes, ni les sons. C’est le tout. Un ensemble vibrant, qui touche, questionne, émeut.
Avec six titres, Blanc est un album qui amène à réfléchir. La proposition est complète, l’instrumentation est dense et travaillée, le propos est brut, intéressant, passionnant même. Il ne faut rien de plus aux trois artistes pour convaincre. Rock et poétique, ça fonctionne.
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